La plus grande crainte des économistes, des politologues de l’Argentine et du reste du monde s’est concrétisée, Javier Milei, libertarien, antisystème, ultralibéral, militant antiavortement, pro-arme qui avait créé la surprise en août dernier en tête des sondages et des primaires pour la présidentielle argentine, a remporté le scrutin. Il devient donc le nouveau président de l’Argentine, ancienne puissance régionale désormais plus que l’ombre d’elle-même. Il faut dire que le pays est empêtré dans une grave économique et sociale.
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