Catégorie : Outremer

Révoltes et répressions sous les tropiques : les grands assassinats politiques des Antilles-Guyane #1

Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’heure est à la décolonisation. Après avoir pris part à tous les théâtres d’opérations, les populations des colonies anglaises, espagnoles, néerlandaises et même françaises réclament l’indépendance. Les Outremers français choisissent de rester rattacher à la mère-patrie, la France en optant pour la départementalisation. Malgré ce statut si particulier, des événements sociaux violents liés au désir d’égalité mais aussi d’émancipation voire d’indépendance vont émailler l’histoire contemporaine des vieilles colonies. De nombreux personnages politiques et syndicaux le paieront de leur vie.

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Orpaillage : En Guyane-Française, des associations poursuivent l’Etat en justice pour son inaction.

Le 3 janvier 2024, des associations guyanaises, dont l’Association des Victimes du Mercure-Haut-Maroni, la COPAG, la JAG, Wild Legal, ont signifié leur intention de déposer une action en justice contre l’État français le 17 janvier prochain, ceci après avoir entendu les propos de la Première ministre Elisabeth Borne. Des propos jugés inacceptable et une action insuffisante.

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Reprise imminente du chantier du Centre des Arts et de la Culture de Pointe-à-Pitre. Enfin !

Nous vivons sans doute l’épilogue de cet épineux dossier qui divisait la société guadeloupéenne. Après des années de pause, de bras de fer entre les différentes collectivités locales, d’occupation des lieux par le collectif d’artistes  » Awtis Rézistans », voici que l’on a appris qu’avec l’aide financière de l’Etat et de l’Agence française de développement, la reconstruction du Centre des arts est imminente. Mais, pour ce qui concerne les poursuites judiciaires contre les personnes ou les entreprises qui se sont rendues coupables ou complices de ce grand détournement de fond, ce n’est pas pour tout de suite.

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Le 24 décembre 1854, arrivaient les premiers engagés indiens en Guadeloupe.

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Le 24 Décembre est synonyme de fête pour les chrétiens du monde entier, mais en Guadeloupe, le 24 Décembre est avant tout un jour spécial pour les descendants d’engagés, ces travailleurs hindous envoyés dans l’archipel guadeloupéen, pour remplacer les esclaves africains devenus « Libres ». Longtemps rayés, aujourd’hui les Indo-Guadeloupéens sont des citoyens à part entière et ils sont désormais des entrepreneurs prospères.

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Rencontre avec Les Ballets K’mrod, ambassadeurs des danses traditionnelles de Guadeloupe

Les Ballets K’mrod est une troupe de danse composée exclusivement de jeunes ambassadrices et ambassadeurs des danses traditionnelles de la Guadeloupe. Après avoir remporté le prix du meilleur groupe de danse folklorique au Pérou, après avoir représenté la Guadeloupe en Sardaigne en Italie, ils se préparent à être les portes étendards de la France et de la Guadeloupe à Taïwan ( République de Chine) pour le festival international CIOFF.

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Jalylane Maës, 3e Dauphine Miss France 2024 est de retour en Guadeloupe

Jalylane Maës, Miss Guadeloupe 2023 et 3e Dauphine Miss France 2024 est de retour chez elle, en Guadeloupe. Troisième Dauphine de Miss France 2024, la jeune femme a porté les couleurs de l’Archipel jusqu’à la finale du célèbre concours Miss France. Un accueil chaleureux lui a été réservé à son arrivée à l’aéroport en Guadeloupe. Retour en image.

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Hôtel Arawak et l’artiste Jimmy Sabas Mash célèbrent la culture amérindienne.

Les murs de l’hôtel Arawak honorent la culture du peuple Kalinago. La présidente du Commonwealth de la Dominique, son Excellence Sylvanie Burton et le chef Kalinago Lorenzo Sanford étaient présents à l’inauguration de ces murs. C’est l’artiste Jimmy Sabas Mash qui a réalisé cette fresque qui honore la culture amérindienne.

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Affaire Barbara Olivier Zandronis vs Jordan Bardella : quand la liberté de la presse est menacée en France.

Depuis le week-end dernier, nul ne peut ignorer le tollé médiatique qu’a pris une banale interview politique de Jordan Bardella, président du Rassemblement National en déplacement en Guadeloupe. Une interview professionnelle menée de main de maître par la journaliste Barbara Zandronis et qui pourtant a fini par être écartée de la présentation du journal de 13h qu’elle anime sur RCI, radio la plus écoutée en Guadeloupe. Cette éviction d’une journaliste par sa rédaction, pose la question de la liberté de la presse .

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